mardi 15 septembre 2015

Préparation de la mariée

Je n'étais pas là pour tout raconter, car cela était réservé à des privilégiées, d'mais d'après les dires, elles ont passé un super moment. On ne remerciera jamais assez Jane d'avoir immortalisé le moment.

Dans les mains d'expertes aux yeux affûtés...



Remarquez l'ingénieuse couverture pour ne pas en mettre partout...



Le selfie de la fine équipe.



 Kate prend tellement d'assurance qu'elle baptise les enfants...Le côté positif est que si elle convainc la jeune génération de penser comme elle, sans aucun doute, le monde se portera mieux :-)


Guillaume lance un élégant "Mazeeeetttte, la biche!!"
 ensuite se permet sagement de lui dire qu'on est en retard sur le planning hyper serré!


Un petit moment d'hésitation ; "J'y vais j'y vais pas? Attends, je suis pas prête...En plus je n'ai rien à me mettre!"


La cérémonie

Bien décidés, et heureux d'arriver...


Quand l'assemblée se lève et applaudit, sans aucun doute le moment où le coeur bat la chamade au rythme d'un tango cubain.

 Guillaume remercie, en essayant tant bien que mal de contenir son émotion, tous les invités de leur présence.


 Les parents du mariés, heu-reux! "Non seulement, on a casé l'incasable, mais on a touché le coche, une pépite" se disaient-ils encore en secret...


Fabrice, le cousin belge d'Amérique qui vit en France, fut le maître de cérémonie époustouflant, mélangeant français et anglais avec encore plus de brio que Nelson Monfort, qui a officié une cérémonie par-faite!


Eric, le Papa de Lio, explique à Kate la biographie de Guillaume d'avant leur rencontre, qui se résume à une longue histoire de playmobil.
Translation : Guillaume is living playmobil!




Eddy rwandais de Lommel, une petite ville limbourgeoise trop souvent sous-estimée, nous a aussi marqué. Nous nous garderons toujours en mémoire de toujours faire l'effort de nous comprendre et nous respecter. Encore Merci d'avoir partagé cette anecdote de ton propre couple. Comme c'était en anglais, je tente ici-bas un résumé de son histoire à propos du manteau.
Eddy est rwandais et a épousé Nadja qui est belge. Ils habitent à Lommel, en Belgique, et pour le couple, il y a encore des us et coutumes de chacune de leur culture, qui inconnue ou mal interprétée peuvent mener à une incompréhension mutuelle.
C'était en hiver. Eddy revient juste à temps pour le souper. Nadja a préparé le repas et Eddy, qui vient de braver les Cinquante Nuances de Gris que la Belgique peut offrir de novembre à Mars, se met directement à table.
Nadja le regarde d'un air réprobateur et s'ensuit ce dialogue:

Nadja ; "Eddy tu peux enlever ta veste"
Eddy: " Non merci. J'ai une de ces faims. C'est délicieux"
Nadja: "Non, Eddy. Je te demande d'enlever ta veste. On ne passe pas à table avec sa veste.

Pour Nadja, selon la culture européenne, on ne mange pas avec sa veste. On prend le temps de mettre à l'aise, on se débarasse des vêtements superflux, et on montre de l'attention à celui/celle qui a cuisiné".
Pour Eddy, élevé en Afrique, il n'y a aucune impolitesse à manger avec sa veste. La faim est un état désagréable qu'il peut résoudre grâce au repas devant lui. Et la veste ne l'empêche pas de manger. EN gardant sa veste, Eddy ne cherchait évidemment pas à blesser Nadja ou être impoli, mais simplement à assouvir sa faim.
La morale est donc que nous pensons différemment, et que c'est par le dialogue qu'on arrive à la compréhension.

Bon, je pense que je n'ai pas trop faire honneur au texte d'Eddy, mais vous avez capté l'idée.

Antonin, dit Toutoune dans le milieu, garde précieusement les bagues, concentré sur sa tâche.


Mission accomplie.




 "Vous pouvez embrasser la mariée"...Et pour ceux qui se le demandaient : OUI, c'était la première fois.


lundi 14 septembre 2015

Les jeux de Méla après la Cérémonie

Kate et Guillaume ont une vision bien différente du "jeu". Kate y voit une occasion de prendre du bon temps, de rire et de s'amuser. Avant que le dit "jeu" ait été proposé, Guillaume aura déjà 1001 stratégies pour gagner. N'est-il pas le plus passionné des vainqueur? Inventeur de célèbres expressions reprises à Roland Garros ou Wimbledon telles que "Perdre, c'est mourir un peu" ou encore " la défaite est un échec"...
Bref, pour concilier ces deux visions, il fallait une fine tacticienne, et Mélanie a relevé le défi haut la main! Nous avons eu affaire à des compétiteurs heureux et riants prêts à toutes les bassesses pour gagner. Un vrai mixte Kato-guillaume (oui, c'est devenu un nom commun).

Ca commence amicalement..."on est là pour rire, je ne connais pas tout le monde..."
Ensuite est venu le moment, où on se dit que finalement, gagner est une agréable émotion.

 Vient ensuite la détermination victorieuse, la vraie...
 L'inquiétude de la défaite...
 Et finalement, la perte des valeurs, la gagne à tout prix.






vendredi 11 septembre 2015

La soirée...

On se souviendra aussi de François, mon partenaire de double en badminton, mais ami avant tout, de son super discours, intelligemment distillé de petites phrases où j'aurais mieux fait de me taire. Mais délicat le Frans, il a gardé les vieux dossiers enterrés...

Maxime, mon frère, tente de rassurer les mariés: " A priori tout vous oppose, mais à y regarder de plus près, vous êtes parfaitement raccord!". Suivant l'exemple de Frans, Maxime n'a gardé que le meilleur...

Pour le plus grand plaisir des mariés...
Et des invités...






Pendant ce temps-là, les enfants apprennent à fumer... 

Comme ce n'était pas un projet super éducatif, certains "compétiteurs" se sont occupés d'eux...De jour comme de nuit, l'activité n'a connu qu'aucun épuisement (autre que celui des pousseurs)








 Maxime, tant bien que mal, essaye d'organiser les invités...


On a compté 88 manifestants, selon les organisateurs, 5000 selon la police. Des témoins se sont dits sidérés par la capacité d'un certain "Maxime" a ramené la lumière.



Les photos ici-bas sont dues au talent sans limite de Noémie...